Après une petite marche à travers champs sous le cagnard de l’Italie, nous voilà face à un haut mur d’enceinte carré, protégeant ce joli petit palace.
Les aspérités du mur aidant à l’ascension, nous voilà vite perchés à deux mètres du sol, dominant le village,
avant de disparaitre dans l’enceinte de la propriété, à l’abri des regards extérieurs.
N’affectionnant par spécialement ce genre d’architecture de papier mâché, quelques clichés éparses, volés au gré de ce dédale de pièces vides.
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