Suivre une route entre marais, docks & camions.
Et puis d’un coup d’un seul, sans prévenir, des rangées
de maisons en briques rouges qui s’étirent jusqu’à
la mer. En bonus, l’odeur lancinante du bois en putréfaction.
Sur des kilomètres, le souvenir des habitants de Doel,
expropriés, chassés pour faire place neuve à ces
installations portuaires. Le deuil et surtout la
résistance face à un monde déshumanisé ou tout ne
tourne plus très rond.
Dans ce dédale aux ambiances fantomatiques & artistiques,
j’ai erré des heures, les yeux remplis de paillettes.
Cette série de photos,faute d’avoir pu entrer dans l’intimité
des habitations, s’avère plutôt touristique, « graffitique »
plutôt qu’artistique 🙂
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